Dans les transports en commun de banlieue, il semble que l’humanité entière s’est donné rendez-vous. Emprunter les trains de banlieue parisiens, c’est parcourir le monde entier. S’assoir dans l’un des wagons, c’est rencontrer des populations dont les origines sociales, culturelles et les centres de préoccupations ne se ressemblent pas toujours. Dans ce livre exclusivement consacré aux voyageuses, c’est observer la condition féminine. Au-delà des différences, c’est découvrir ce qui est commun entre toutes ces femmes anonymes : l’amour des enfants, de la famille, de l’amitié, mais aussi de la cuisine, du métier, des arts, de l’aventure, de l’engagement pour une cause… À celles que, d’ordinaire, on n’entend ni ne regarde, l’auteure, Isabelle Forestier, espère donner voix et présence au travers de ce très bel album.
LIEU : Espace Galerie, Le Sel (47 Grande Rue92310 Sèvres)
Rencontre avec l’artiste vendredi 1er octobre à partir de 19h
Tarek Ben Yakhlef est un artiste polyvalent, dont l’univers coloré se déploie autant sur la toile que sur les murs et la bande-dessinée. En 1991, alors âgé de 19 ans, il publie le livre Paris Tonkar, consacré au graffiti à Paris. Celui-ci est devenu un ouvrage de référence pour tous les amateurs d’art urbain tout comme pour les spécialistes du Hip-Hop.
L’idée de customiser des masques ou d’en peindre n’est pas récente dans le travail de Tarek puisqu’il avait déjà réalisé quelques pièces dès 2010. Lors de son séjour au Cameroun, en 2017, il a peint des murs et partagé sa passion avec d’autres peintres camerounais. Sur place, il a pu faire l’acquisition de nombreux masques africains qui ont été des sources d’influence importantes pour son travail (séries Tribal et Hommes de bois). Depuis peu, il a entamé une nouvelle série sur les totems !
Exposition « Des masques et plus encore ! » avec Superposition à LA CITÉ DES HALLES du 12 août au 12 septembre.
Lors de ma première exposition solo à Lyon avec la galerie Superposition, à l’époque située rue Longue, j’avais peint toute cette ruelle durant une semaine. De nombreux masques avaient pris forme et les rayons du soleil, qui pénétraient dans cet endroit emblématique, éclairaient tel ou tel masque selon le moment de la journée… Par la suite, j’ai peint des masques lors d’éditions de l’Urban Jungle festival auxquelles j’ai participé et lors de l’in-situ à Confluence… Mon histoire avec cette galerie est liée aux masques et… bien plus encore.Vous pourrez découvrir de nouveaux masques et des œuvres exposées pour la première fois à Lyon. Une superposition d’œuvres d’art par Superposition. Bonne balade visuelle.
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C’est un roman graphique, une histoire complète en couleurs directes de 90 pages environ, racontant la légende du roi Arthur à travers les mythes et le point de vue des Dames du Lac, de la signification et l’interprétation des symboles. Le contexte est celui historique du Ve-VIe siècle, avec une interprétation des costumes et de l’époque aussi proche que possible à la réalité archéologique, tout en faisant la part belle aux légendes celtes et païennes, et d’imaginer comment l’histoire d’Arthur a pu naître dans cette époque étrange, entre la fin de l’empire romain et le début d’un monde aux contours flous, en attente de renouveau. C’est un terreau propice à l’imagination, et un vieux rêves que de donner une version personnelle.